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Faits Divers

Pour tester ma fidélité, ma femme a poussé notre servante à me séduire

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Pour tester ma fidélité, ma femme a poussé notre servante à me séduire

Amoin était une fille formidable. Juste trois ans après mon mariage avec Julie, cette jeune fille qui avait fui son village à cause d’un mariage forcé s’était retrouvée à travailler chez nous comme servante.

Sa particularité, c’est qu’elle s’adaptait  facilement à toutes les situations. Elle s’entendait tellement bien avec ma femme que notre entourage pensait qu’elles avaient des liens de parenté.

 

La jeune fille rivalisait d’ailleurs de beauté avec mon épouse.

Ama avait un teint clair hors du commun avec un cou strié et un sourire d’ange. Ses fesses bien rebondies lui donnaient un charme particulier. A dire vrai, elle ne laissait personne indifférent. Au-delà de sa beauté même, elle est très serviable. Julie l’aimait beaucoup et lui confiait beaucoup de secrets. 

 

Je n’aimais pas beaucoup cela car Ama se permettait souvent d’intervenir dans nos décisions familiales. Ma femme ne supportait pas qu’on parle mal de sa servante, elle la défendait bec et ongles. 

Le temps passa et un jour, en l’absence de mon épouse et des filles, parties à Grand Bassam dans leur village maternelle, je suis resté seul avec Ama.

C’était un weekend, j’étais donc à la maison, n’ayant rien de prévu de faire. Commençant à m’ennuyer, je me suis mis sur la terrasse pour prendre de l’air.

Ama était couchée dans sa chambre. En passant devant sa porte, j’ai entendu qu’elle gémissait doucement. Elle était couchée à moitié nue sur son lit, recroquevillée sur elle, se tenant le bas-ventre. Elle était vraiment belle. Elle avait pour seul habit sa petite culotte à ras de fesses.

Ayant par la suite remarqué ma présence, elle se saisit de son drap et s’en couvrit prestement.

- C’est grave ? Lui demandai-je gêné.

- Non tonton, ce n’est pas grave. Je souffre seulement de règles douloureuses, ça va me passer.

- Généralement qu’est-ce que tu prends en pareil cas ?

-Des calmants, tonton, mais tantie est partie à Bassam avec tous les comprimés.

- Mais pourquoi ne me l’as-tu pas dit ? Viens en prendre, je n’aime pas te voir dans cet état.

 

Elle se leva pour me suivre, mais son drap glissa sur son corps et s’étala  à ses pieds. Elle avait de beaux seins dressés en ma direction avec un bassin époustouflant.

Elle remarqua d’ailleurs qu’elle me faisait de l’effet. La scène qui se produisit par la suite me sembla invraisemblable. Elle ne chercha même pas à ramasser son drap pour s’en couvrir, elle me suivit ainsi en marchant d’un pas lent. Mille questions se mirent à se bousculer dans ma tête.

Pourquoi me suivait-elle presque nue ? Me faisait-elle tellement confiance qu’elle ne s’en rendait pas compte ? Ou le faisait-elle dans l’optique de me tenter ? Ou simplement avait-elle tellement mal que s’habiller lui paraissait comme une perte de temps ?

Aucune de ces questions ne trouvait de réponse .La chose la plus grave est que sur l’instant, je la désirais réellement dans mon cœur sans parvenir à m’y opposer fermement.C’était la première fois que je vivais ce genre de situation dans ma propre maison. 

 

Mais là comment fallait-il que je réagisse ?

Ama marchait au pas derrière moi sans oser me rattraper. Venait-elle de se rendre compte de la bêtise qu’elle avait commise en me suivant en caleçon ?

Arrivée devant ma chambre, elle s’est arrêtée et m’a attendu là toujours impassible. J’ai, d’une main tremblante, saisi la plaquette de Doliprane que j’avais dans mon placard et je suis ressorti pour la lui tendre. Je ne lisais nullement de la gêne dans son regard. Elle s’en est saisi et s’est retournée tout aussi calmement et tranquillement qu’elle était venue.

 

La nuit venue, je ne réussissais pas à fermer l’œil.

Je pesais et analysais l’attitude de ma servante sans vraiment y comprendre quelque chose. Plus j’y songeais, plus le désir  grandissait et grondait en moi. J’ai alors tenté ma technique infaillible de résistance à la tentation : j’ai saisi mon téléphone et j’ai composé de numéro de ma femme.

C’est sa mère qui décrocha et me signifia que Julie dormait depuis près d’une heure.

 

C’était fichu pour moi.

Julie dormait et moi je ne savais plus quoi faire. C’est alors qu’une idée lumineuse me vint en tête : "Et si je sortais un peu ?" En m’apprêtant pour sortir, j’entendis de faibles coups frappés à ma porte.

-Qui est là ?

-Tonton c’est moi.

 

…C’était Ama. Eh Seigneur que me voulait-elle ?

J’essaie de la fuir et la voilà qui vient m’assiéger dans mon dernier retranchement. Je n’osais pas lui ouvrir la porte. Elle insista. Je me décidai, pour ne pas paraitre ridicule, au bout de quelques minutes à lui ouvrir. Cette fois, elle était dans une robe de nuit noire.

-Tonton, tu n’as besoin de rien ?

-Non Ama

.-Et tantie, tu l’as appelée, comment vont les filles ?

-Elles vont bien. Ta tantie dort déjà, mémé dit que les enfants l’ont beaucoup fatiguée.

-Tu la connais bien. Et ta santé, comment te sens-tu ?

-Ça va tonton. Il ne faut pas s’inquiéter pour ça. Cela m’arrive tout le temps et je peux dire que j’y suis habituée.

-Habituée ? Personne ne s’est jamais habitué à la douleur et dire que tu as pleuré toute la journée.

-Oui c’est vraiment douloureux, souvent je me demande pourquoi Dieu m’a créée femme. Je vous envie vous les hommes ; vous n’avez pas ce genre de problèmes qui doit revenir chaque mois.

-C’est la diatribe que vous ressortez  chaque fois que quelque chose ne va pas bien. Sinon votre rôle de femme vous plait bien, n’est-ce pas ?

-En tout cas tonton, en dehors de ces maudites douleurs, je peux affirmer qu’être une femme est finalement un délice.

-Un délice ?

-Oui tonton, imagine tous ces regards masculins que m’accompagnent quand je sors. Les hommes se jettent pratiquement à mes pieds pour me faire des avances. Il y en a qui m’ont promis monts et merveilles. Je n’y crois pas mais c’est toujours bon à entendre. Surtout les grosses voitures qui s’arrêtent quand je commence à marcher comme ça…

 

Elle s’est mise à marcher en ondulant lascivement son postérieur et en souriant à faire pâlir un saint. Ama était vraiment une belle femme et jamais je ne l’avais vue sous cet angle provocateur. Cela ne fit que décupler mon désir envers elle.

-Tu es vraiment très belle Ama.

-Merci tonton. Je veux ressembler à tantie. Elle est la plus belle femme d’Abidjan.

Effectivement, Julie était la beauté faite femme…Ama me toisa d’un air assez étonné, ayant remarqué mon silence soudain. J’étais rêveur, je me repassais le jour de ma rencontre avec ma reine Julie.

Ama souriait en me regardant, elle devait être en train de se demander à quoi je pense. Il y avait quelque chose d’angélique dans son sourire comme celui de Julie …

Ama me tira de ma rêverie : « tonton à quoi penses-tu ? »

-Rien Ama, je revoyais la soirée où j’ai rencontré ma femme.

-Tantie n’a pas menti tonton, tu es le plus beau des hommes que j’ai jamais rencontré moi aussi.

Ama a prononcé ces derniers mots avec une pointe de tristesse dans la voix. Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle me regardait avec une envie de pleurer. J’étais troublé. 

Elle s’avança vers moi avec une lenteur calculée et me posa une main sur la joue gauche. Elle me fixa dans les yeux et dit:

-Tonton…  Jules,  je veux te le dire franchement. il faut que je te l’avoue. Jules…je t’aime… je t’aime depuis le premier jour où j’ai mis mes pieds dans cette maison. Je t’aime comme une folle. Je l’ai toujours caché et j’en ai souffert toutes ces années mais tu ne m’as jamais remarquée, ni fait le moindre compliment jusqu’à ce soir. 

Ama, tout en parlant s’approcha de moi. Elle m’offrit ses lèvres. Alors que je voulais les prendre avec les miennes, l’image de mon épouse vint s’interposer entre la servante et moi.

Je la repoussai légèrement en signe de refus.  Elle baissa la tête comme blessée dans son amour propre.

-Tonton, que fais-tu de mes sentiments à ton égard ? Demanda-t-elle en laissant tomber sa robe de nuit.

Ses beaux seins chauds pointaient vers moi.Elle vint s’agripper à moi. Je sentis la chaleur de son corps et son cœur qui battait à rompre tout comme le mien.

Quel homme refuserait un tel cadeau ? Et pourtant :

 

-Ama, je t’aime bien, mais comme si tu étais une parente à moi. Je suis désolé, je ne peux pas faire ça à mon épouse. Nous nous sommes promis amour et fidélité. Je ne peux pas faillir à cette promesse.

Ama baissa la tête et se dirigea dans sa chambre en me laissant admirer sa belle  et grosse paire de fesses bien rebondie qui bougeait au rythme de ses déhanchements.

L’envie de la rappeler m’envahit. Mon érection était à son comble. Mais je l’ai laissé disparaitre dans sa chambre avant d’entendre la clé tourner dans la serrure.

Je me suis précipitée vers sa porte avec  l’intention de revenir sur ma décision. Mais une fois devant la porte,  sa voix me parvint comme si elle était en communication. J’hésitai en collant mon oreille à la porte. J’avais du mal à l’entendre. Au même moment, j’entendis frapper à la porte.

Qui venait m’interrompre alors que j’étais décidé à faire l’amour à Ama qui me mettait dans une érection dingue ?

 

Je me suis précipitée pour ouvrir : c’était mon épouse Julie.

 

-Mais que fais-tu ici ? Et les enfants ? Mais, tu ne m’as pas dit que tu rentrais ce soir ! 

-Tu es l’homme le plus merveilleux que le Bon Dieu a bien voulu me donner. Je savais que je pouvais te faire confiance…

Lorsque je me suis retourné, c’est Ama, superbement habillée avec un sac de voyage qui se tenait derrière moi.

-Mais, qu’est-ce qui se passe ? Demandai-je sidéré.

-Ama s’en va en France. Répondit mon épouse. 

-C…Co…Comment ? Bredouillai-je.

-Je rejoins mon amoureux à Paris. Ajouta Ama en me souriant.

-Vous avez donc comploté, c’est ça ? Demandai-je furieux.

-Ama n’y est pour rien. Je savais qu’elle devait voyager ce soir. Je lui ai dit de ne pas t’en parler et de m’aider à te tester avant qu’elle ne quitte la Côte d’Ivoire.

C’est ce qu’elle a fait après que je l’ai maintes fois supplié car elle ne voulait pas se prêter à ce jeu. Excuse-moi chéri, je voulais juste savoir…

-Savoir si je te trompe ou si je peux te tromper ?

-En quelque sorte ! Me répondit mon épouse avec un sourire en coin qui déchira mon cœur.

-J’avoue que ton coup en est un. Je t’aime Julie, je ne peux te tromper. Tu es la plus belle femme du monde.

 

Julie s’approcha. Nos lèvres se confondirent dans un suave baiser sous le regard heureux d’Ama.

Nous prîmes la direction de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny où Ama prit son vol pour Paris : il était 21 H 00.

Je venais de réussir à un test de fidélité qui m’avait discrètement été soumis. Mon épouse ne peut s’imaginer qu’au dernier moment j’ai été tenté de  posséder le corps suave et gracieux de notre servante.

Enfin, j’ai été sauvé par le gong.

 

in monspahir

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2 Commentaires

  1. Comment Avatar

    Anonyme

    En Juillet, 2016 (09:43 AM) Rien n'est fait au hasard dans cette vie donc faisons attention nous les hommes
  2. Comment Avatar

    Guilavogui

    En Juillet, 2016 (09:53 AM) Mon frère journaliste qui a écrit ce texte qui ne peut avoir rien de vrai, devrait songer à faire un roman pour enfant ou fille.

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